Nous nous permettons de vous faire suivre la pétition lancée par deux médecines des HUG (Dr Patrick Saudan et Pr. Pietro Majno) demandant aux autorités exécutives et législatives, cantonales et communales, d’inscrire en priorité dans leur agenda le développement d’aménagements cyclables sécurisés.

Nous vous encouragerons fortement à y participer, en suivant les instructions que vous trouverez ici.

 

Le 23 novembre prochain, à Palexpo, la Revue Médicale Suisse organise un grand événement pour fêter les 125 ans de l’Association des médecins du Canton de Genève et les 150 ans de la Société médicale de la Suisse romande. Plusieurs manifestations auront lieu ce jour là (programme), dont une session exceptionnelle pour les médecins internes et chefs de clinique envisageant une installation, suivie d’un apéritif dînatoire avec l’ensemble des participants. Voici le programme (que vous trouverez également en attaché):

18h15 Que faire après l’hôpital ?
– En clinique, Gilles Rüfenacht, Président de Cliniques Genève
– En cabinet de groupe, Dr Hakan Kardès, Réseau Magellan
– En maison de santé, Dr Philippe Schaller, Réseau de soins Delta
– En pratique privée, Tibère Roussot, Gespower
19h15 Pause
19h30 Gérer un patient compliqué hors de l’hôpital: quelle approche?
N. Apter, Institut Ouverture Développement et Formation (orateur à confirmer)
19h50 Clôture et cocktail dinatoire

S’il vous est possible de venir avant 18h15, vous pourrez découvrir et visiter, entre autres, un cabinet du futur, entièrement connecté.

La participation à la soirée de clôture est gratuite pour les membres de l’AMIG. La direction médicale de l’Hôpital soutient cette démarche et un mail a été envoyé par le directeur médical aux responsables de service pour leur demander d’accueillir favorablement vos demandes de participer à cet événement. Vous pouvez vous inscrire:
sur le site
par mail
– par tél: +41 22 702 93 23 / par fax: +41 22 702 93 55
– par poste : Revue Médicale Suisse, Chemin de la Mousse 46, CH-1225 Chêne-Bourg

En espérant vous voir nombreux à cet événement,

Pour le comité de l’AMIG,

Christophe Fehlmann

Nous vous informons déjà de la date de notre prochaine assemblée générale. Celle-ci aura lieu aux HUG le jeudi 30 novembre.

Si vous souhaitez aborder des points spécifiques, merci de nous en informer d’ici le 12 novembre, à l’adresse info@amig.ch.

De plus, en raison d’importants projets pour l’an prochain, nous cherchons des personnes prêtes à rejoindre le comité. Si vous voulez en savoir plus avant de vous engager, n’hésitez pas à nous contacter : info@amig.ch.

Santé : Le Conseil fédéral suit Alain Berset: il y a lieu d’agir pour réguler le nombre de médecins autorisés à pratiquer.

Un serpent de mer de la politique sanitaire resurgit à la veille de la pause estivale. Faut-il réguler l’admission de nouveaux médecins en Suisse, et si oui comment? Alain Berset a convaincu le Conseil fédéral d’agir. Le gouvernement préconise des mesures à trois niveaux, poursuivant deux buts: élever les exigences de qualité imposées aux médecins autorisés à pratiquer et maîtriser les coûts.

La médecine ambulatoire est dans le viseur. Chaque nouveau spécialiste installé coûte 500 000 francs en moyenne à l’assurance-maladie obligatoire, a calculé Santésuisse. La libre circulation des personnes a favorisé la venue d’un grand nombre de médecins étrangers dans notre pays.

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Santé La direction ne remplacerait pas certains départs à la retraite. Les syndicats s’alarment.

Après les plans Victoria en 2007 et Performance en 2012, les Hôpitaux universitaires de Genève (HUG) se préparent à de nouvelles mesures d’économie d’envergure. L’institution, dont le budget atteint 1,863 milliard de francs, pourrait perdre plus de 35 millions de francs en 2018.

«Il s’agit d’hypothèses de travail. Rien n’est définitif», avance le directeur, tout en prévenant que «les budgets des années à venir seront difficiles, et pas seulement en 2018. Nous entrons dans une phase critique.»

La réforme Tarmed

Un scénario assez précis se dégage. «Si elle est appliquée comme prévu, la réforme des tarifs médicaux induira une perte de recettes de 20 millions, calcule Bertrand Levrat (lire ci-contre).

 

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Une journaliste de RTS fait des recherches suite au sondage de l’ASMAC, ceci pour l’émission « Mise au point ». Après des contacts avec l’AMIG, l’ASMAV et l’ASMAC, elle est maintenant en train de chercher des témoignages. Il s’agit bien dans un premier temps d’un simple entretien téléphonique, qui n’engage pas à un tournage, ni du côté du témoin, ni de la journaliste. De plus,  celle-ci est totalement ouverte à traiter le témoignage anonymement si la personne préfère.

Si vous êtes intéressés, n’hésitez pas à nous contacter à l’AMIG (info@amig.ch) ou l’ASMAC (marti@vsao.ch).

«Il y a trop d’hôpitaux, c’est clair.» En soi, le propos et le débat qu’il suscite ne sont pas nouveaux. Ce qui l’est davantage, c’est qu’il a été prononcé par la Verte Susanne Hochuli, qui sera présidente de l’Organisation suisse des patients (OSP) dès janvier 2018. Elle s’est exprimée en ces termes dans le SonntagsBlick.

Susanne Hochuli note qu’en comparaison internationale, la Suisse connaît une grande densité d’hôpitaux. Par habitant, il y en a quatre fois plus…..

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La bataille sur le nouveau tarif des prestations médicales ambulatoires se poursuit. H+, l’organisation faîtière des hôpitaux suisses, a proposé ses propres solutions lundi pour résoudre la crise (lire l’encadré). Interview de sa présidente, la conseillère nationale Isabelle Moret, (PLR/VD).

 

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L’enquête représentative a été réalisée en janvier et février 2017 par l’Institut DemoSCOPE. Il ressort des quelque 3’300 réponses analysées que la durée de travail contractuelle convenue est aujourd’hui moins bien respectée que lors du dernier sondage en 2014.
52% des personnes ayant participé à l’étude ne respectent pas la durée maximale de travail de 50 heures prévue par la loi.

Pour en savoir plus >>

 

 

En médecine, comme dans de nombreux autres secteurs de la société, nous pouvons, face à l’évolution informatique, adopter deux positions diamétralement opposées. Première option, se dire que l’informatique n’est que complications, et qu’un médecin compétent et des patients suffisent à des soins de qualité. La deuxième option, qui me parait plus séduisante,  est de penser que l’informatique pourrait aider les professionnels de la santé à travailler mieux, plus efficacement. Et donc aux patients d’être mieux ….

 

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